Revue Lignes n°70
ÉCOSOPHIE OU BARBARIE
Contributeurs : Pierre-Damien Huyghe, Susanna Lindberg, Sophie Wahnich, Serge Margel, Christian Prigent, Paul Guillibert, François-David Sebbah, Daniel Payot, Jean-Christophe Bailly, Stéphane Habib, Valentin Husson, Jean-Philippe Milet, Frédéric Neyrat, Stéphane MassonetRevue Lignes n°69
LOGIQUES DU CONSPIRATIONNISME
Contributeurs : Jacob Rogozinski, Franck Chouraqui, Boyan Manchev, Sebastian Dieguez, Frédéric Delouvée, Frédéric Neyrat, Serge Margel, Guillaume Wagner, Camille Rogier, Philippe Corcuff, Dalie Giroux, Paul Memmi, Alphonse Clarou, Christian Prigent, Michel Surya, Paul Bernard-NouraudTRIALOGUES
Un document. Ces conversations à trois témoignent de l’inflexion des pratiques freudiennes et lacaniennes, à l’aune d’une recherche schizoanalytique toujours à poursuivre.CHAOSMOSE
Dans le dernier livre publié de son vivant, en 1992, Félix Guattari entreprend la métamodélisation du corpus conceptuel forgé dans ses ouvrages précédents, de L’Anti–Œdipe (avec Gilles Deleuze, 1972) aux Trois écologies et aux Cartographies schizoanalytiques (1989).Revue Lignes n°68
JEAN-LUC NANCY
Contributeurs : Jean-Christophe Bailly, Jacob Rogozinski, Avital Ronell, Juan Manuel Garrido, Alexander García Düttmann, Danielle Cohen-Levinas, Boyan Manchev, Marc Nichanian, Georges Didi-Huberman, Mathilde Girard, Frédéric Neyrat, Jérôme Lèbre, Jean-Philippe Milet, Rosaria Caldarone, Fethi Benslama, André Hirt, Martin Crowley, Aïcha Liviana Messina, Philippe Beck, Sandrine Israël-Jost, Pierre-Damien Huyghe, Emmanuel Laugier, Divya Dwivedi, Philippe Blanchon, Yves Dupeux, Alain Jugnon, Marc Crépon, David Amar, Aliocha Wald Lasowski, François-David Sebbah, Hervé Couchot, Michaël Ferrier, Federico Nicolao, Susanna Lindberg, Federico Ferrari, Jean-Luc NancyDE LEROS À LA BORDE
De Leros, île grecque abritant un établissement asilaire d’un autre âge qu’il est invité à visiter en 1989, à La Borde, clinique expérimentale où il a rejoint Jean Oury en 1955 et où il travaillera jusqu’à sa mort (en 1992), Félix Guattari établit ici le bilan de ses années d’activité clinique et théorique.
Dans ce recueil dont Félix Guattari avait lui-même défini le contenu peu de temps avant sa disparition, il en appelle à une pratique de la cure psychiatrique dans des institutions qui sauraient renouveler leurs instruments et faire preuve, vis-à-vis de leurs patients, d’une créativité comparable à celle de l’artiste. Renouvellement qu’il souhaiterait voir étendu à d’autres secteurs de la société.